Mon mari bien aimé,
Tu m’as dit que tu voulais casser la gueule à l’ignoble Calmette. J’ai compris que ta décision était irrévocable. Mon parti à moi fut alors pris : c’est moi qui ferai justice. La France et la République ont besoin de toi. C’est moi qui commettrai l’acte.
Pardonne-moi, mais ma patience est finie.
Je t’aime et je t’embrasse du plus profond de mon coeur.
Ton Henriette.