Au coeur de l’Histoire

 

(Flammarion, 2011)

Depuis plus de huit ans, les auditeurs d’Europe 1 se sont habitués à la voix, au ton, mais aussi à l’esprit frondeur de Franck Ferrand. Grâce à lui, l’Histoire se pare chaque jour de nouvelles couleurs. Voici enfin réunis une trentaine de récits, tirés des meilleurs numéros de l’émission au cœur de l’histoire.

« J’ai choisi ces récits en fonction de leur force et de leur variété, explique Franck Ferrand, mais aussi de leur originalité… Autant dire que ce sont mes préférés. En les voyant ainsi rassemblés, je me sens conforté dans deux convictions : d’abord, que les grandes affaires humaines doivent très peu, sur le fond, à l’époque où elles se manifestent ; et puis – mais n’est-ce pas une évidence ? – que les plus belles histoires sont toujours liées à des
personnages hors du commun : Aliénor d’Aquitaine, Pierre Brossolette, Dom Pérignon, Hatchepsout… Quel fascinant bouquet de grandes destinées ! »

Offert avec cet ouvrage : un CD présentant quatre histoires « hors antenne ».

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L’ombre des Romanov 

Un roman captivant sur un des secrets les mieux gardés du XXe siècle

(XO, 2010)

Quentin n’en croit pas ses yeux : le paquet déposé de nuit dans sa boîte aux lettres contient une broche sertie de pierres précieuses, sœur jumelle d’un joyau porté par la reine d’Angleterre. Un bijou historique que l’on pensait perdu depuis la fin tragique des Romanov, les derniers tsars de Russie.Pour l’avocat de Quentin, l’imprévisible Sam Douglass, c’est le point de départ d’une enquête dangereuse mais fertile en révélations. Riche aussi en rencontres : un couple d’académiciens atypiques, un sosie de Raspoutine ¬ et surtout la belle et mystérieuse Tacha…

De Londres à Saint-Pétersbourg et Moscou, de New York au lac de Côme, Sam Douglass dénoue l’écheveau d’une effarante machination. Autour de lui, les morts s’accumulent. Quelqu’un veut le faire renoncer. Quelqu’un veut occulter la vérité.

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L’ombre des Romanov 

Un roman captivant sur un des secrets les mieux gardés du XXe siècle

(XO, 2010)

Quentin n’en croit pas ses yeux : le paquet déposé de nuit dans sa boîte aux lettres contient une broche sertie de pierres précieuses, sœur jumelle d’un joyau porté par la reine d’Angleterre. Un bijou historique que l’on pensait perdu depuis la fin tragique des Romanov, les derniers tsars de Russie.Pour l’avocat de Quentin, l’imprévisible Sam Douglass, c’est le point de départ d’une enquête dangereuse mais fertile en révélations. Riche aussi en rencontres : un couple d’académiciens atypiques, un sosie de Raspoutine ¬ et surtout la belle et mystérieuse Tacha…

De Londres à Saint-Pétersbourg et Moscou, de New York au lac de Côme, Sam Douglass dénoue l’écheveau d’une effarante machination. Autour de lui, les morts s’accumulent. Quelqu’un veut le faire renoncer. Quelqu’un veut occulter la vérité.

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Au cœur de l’Ecosse, avec Stéphane Bern 

 

(Flammarion, 2009)

« Cawdor, écrit lady Angelika, sa propriétaire, peut être regardé comme un conservatoire, mieux : un condensé d’Écosse. Tout, ici, me ravit la crête bleutée des Moors, au loin les frondaisons des chênes si vieux du Grand Bois ; les eaux pures qui permettent de distiller le whisky et de laver, de gonfler la laine; la silhouette si familière des vaches des Highlands, des moutons Scottish Black Face et de leurs cousins de Saint-Kilda, entièrement noirs et dotés de quatre cornes ; la vue plongeante, depuis mes échauguettes, sur les massifs et les topiaires du Jardin de fleurs, les perspectives sur le Jardin symbolique, les flambées de tourbe dans la cheminée du grand salon, sous le regard d’un peuple de thalles en portrait – sans oublier la présence imprécise, mais tellement pittoresque, des fantômes domestiques. »

Ce sont ces silhouettes et ces fantômes, ces paysages et ces grands décors que Stéphane Bern et Franck Ferrand, imprégnés de l’esprit des lieux, ont su restituer à quatre mains, dans un album d’impressions qui plonge ses lecteurs au coeur de l’Écosse.

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Au cœur de l’Ecosse, avec Stéphane Bern 

 

(Flammarion, 2009)

« Cawdor, écrit lady Angelika, sa propriétaire, peut être regardé comme un conservatoire, mieux : un condensé d’Écosse. Tout, ici, me ravit la crête bleutée des Moors, au loin les frondaisons des chênes si vieux du Grand Bois ; les eaux pures qui permettent de distiller le whisky et de laver, de gonfler la laine; la silhouette si familière des vaches des Highlands, des moutons Scottish Black Face et de leurs cousins de Saint-Kilda, entièrement noirs et dotés de quatre cornes ; la vue plongeante, depuis mes échauguettes, sur les massifs et les topiaires du Jardin de fleurs, les perspectives sur le Jardin symbolique, les flambées de tourbe dans la cheminée du grand salon, sous le regard d’un peuple de thalles en portrait – sans oublier la présence imprécise, mais tellement pittoresque, des fantômes domestiques. »

Ce sont ces silhouettes et ces fantômes, ces paysages et ces grands décors que Stéphane Bern et Franck Ferrand, imprégnés de l’esprit des lieux, ont su restituer à quatre mains, dans un album d’impressions qui plonge ses lecteurs au coeur de l’Écosse.

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L’histoire Interdite, révélations sur l’Histoire de France 

(Tallandier, 2008)

Le présent ouvrage va me faire des ennemis, écrit l’auteur, m’attirer la condescendance des mandarins et peut-être, me créer des ennuis. On ne s’attaque pas impunément à certains bastions…

Cependant j’assume les inconvénients de cette entreprise, et d’autant plus volontiers que j’ai le sentiment, en bravant quelques interdits, d’oeuvrer à l’avancée de la seule cause qui vaille pour un homme dont l’existence est vouée à l’histoire événementielle : le lent progrès – l’inexorable progrès – de la vérité.

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L’histoire Interdite, révélations sur l’Histoire de France 

(Tallandier, 2008)

Le présent ouvrage va me faire des ennemis, écrit l’auteur, m’attirer la condescendance des mandarins et peut-être, me créer des ennuis. On ne s’attaque pas impunément à certains bastions…

Cependant j’assume les inconvénients de cette entreprise, et d’autant plus volontiers que j’ai le sentiment, en bravant quelques interdits, d’oeuvrer à l’avancée de la seule cause qui vaille pour un homme dont l’existence est vouée à l’histoire événementielle : le lent progrès – l’inexorable progrès – de la vérité.

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